Traditionnellement, le peuple juif a toujours reconnu les besoins particuliers des personnes handicapées. On en trouve une indication dans Samuel II, où il est écrit que « Yehonatan, le fils de Saül, avait un fils, âgé de cinq ans, qui était boiteux des jambes ».
Selon la loi relative à l’égalité des droits pour les personnes handicapées de 1996, « les droits des personnes handicapées sont fondés sur la reconnaissance de l’égalité des droits pour tous... les droits des personnes handicapées et l’engagement de la société israélienne pour le respect de ces droits sont fondés sur la reconnaissance de la valeur de chaque personne car chacun a été créé à l’image de D.ieu et sur le principe du respect de tout être humain… le but de cette loi est de protéger la dignité et la liberté des personnes handicapées et d’établir fermement leurs droits en tant que participants égaux et actifs dans la société dans tous les domaines de la vie, et de répondre de manière appropriée à leurs besoins particuliers afin qu’elles puissent vivre de la façon la plus indépendante possible, dans le respect de leur intimité et de leur dignité, et réaliser pleinement leur potentiel.