Einot Ayalon
C’est ici que se trouvait un lieu appelé Ayalon, une ville du domaine de la tribu de Dan (Josué 19:42), qui a donné son nom à toute la vallée.
Près de la colline se trouvent plusieurs sources appelées les sources d’Ayalon.
La plus grande s’appelle Bir El-Jabar et se trouve à l’intérieur d’une ancienne structure en pierre au sud de la forteresse.
À Tel Ayalon, vous pouvez voir les vestiges de la forteresse des croisés Castellum Arnoldi, qui a été construite au début du XIIe siècle dans le cadre d’un système de défense de la route menant de Jaffa à Jérusalem, et qui domine la partie nord de la vallée d’Ayalon.
Les vestiges les plus remarquables de la région sont des segments des murs ouest et sud.
La source des dattiers
Également connue sous le nom de Ein Nini, cette source coule d’un orifice ayant des murs recouverts de pierres. Elle coule toute l’année. L’ouverture fait partie d’un ancien système d’irrigation, datant apparemment de la période byzantine. De nos jours, l’eau de la source coule dans un court aqueduc qui conduisait l’eau vers un bassin de stockage. En contrebas de la source se trouve un parc aménagé par le KKL-JNF, avec de grandes pelouses et des tables de pique-nique. C’est un lieu apprécié des visiteurs.
La colline panoramique
C’est un point d’observation situé non loin de l’entrée du parc Ayalon Canada.
D’anciens pressoirs à vin taillés dans la roche se trouvent à proximité. On y pressait les raisins pour obtenir le jus qui fermentait pour devenir du vin.
Les vestiges d’Eked
Il s’agit de ruines d’une forteresse, datant apparemment de la période hasmonéenne, et d’un tunnel secret d’environ 25 mètres de long qui se termine dans une citerne. Elles sont situées au sommet d’une colline escarpée.
La méthode selon laquelle le tunnel a été creusé correspond à la période Bar Kochba.
Il s’agit d’un sentier facile qui bifurque de la route environ 50 mètres avant le grand virage et mène à la crête de la colline.
Le long du sentier, vous pouvez voir d’anciennes infrastructures agricoles sculptées dans les rochers.
La route jordanienne de Birmanie
C’est une route qui a été pavée par la Légion jordanienne pendant la guerre d’indépendance, d’Emmaüs au village de Yalo, et de là aux villages de Beit Nuba et Beit Likia. La route part d’un virage serré au sommet de Emek Ha maayanot. Le but de la route était de contourner l’avancée des soldats israéliens dans les collines d’El-Burj, qui coupait la route principale de Latrun à Ramallah.
La colline 312 et le cheikh Ibn Jabal
La tombe du cheikh Ibn Jabal est celle d’un guerrier musulman légendaire, Ibn Jabal, qui a péri, selon la tradition, lors d’une épidémie qui a frappé les forces musulmanes à Emmaüs en 639 de notre ère. Une inscription trouvée au-dessus de la porte du tombeau atteste que le bâtiment a été érigé en 1288 de notre ère par le souverain mamelouk de la forteresse de Jérusalem. Depuis le tombeau, on a une vue imprenable sur la vallée d’Ayalon, Latrun et la plaine côtière de Netanya à Ashdod
L’église d’Emmaüs
is outside the area of the park, but it is very close by and worth visiting. At the foot of a large white stone building, the Beth Shalom hostel, there are remnants from a large church from the Byzantine period (5th century CE). The church was built on top of the ruins of a Roman villa from the 2nd century CE, but most of the visible ruins were built much later by the crusaders in the 12th century.
Aires de repos de l’olivier et vestiges d’Emmaüs
À l’ouest de la route 3, près d’une oliveraie, le KKL-JNF a aménagé l’aire de repos de l’olivier. À proximité, des deux côtés de la route, se trouvent les vestiges d’Emmaüs, le nom grec de la ville de Hamat à la frontière de la Judée. Le nom de la ville est dérivé d’une source chaude, qui ne coule plus de nos jours. Il est fort probable que les thermes romains utilisaient l’eau de cette source. Emmaüs symbolisait un lieu de plaisir.
À propos d’Emmaüs, il a été dit : « Emmaüs, une source d’eau magnifique et un beau jardin » (Kohelet Rabba 7 h 15).
À partir du IIIe siècle, la ville s’est appelée Nicopolis (la ville de Niké, la déesse de la victoire).
Son système hydraulique, dont une partie a été préservée dans le parc Ayalon Canada l’a rendue célèbre dans le monde entier.
Les vestiges les plus impressionnants ne se trouvent pas près de l’aire de repos de l’olivier, mais dans la partie du parc située du côté est de l’autoroute.
Les thermes romains
Ils se trouvent à côté de l’église d’Emmaüs, juste en dehors des limites du parc, dans le cimetière de la ville d’Emmaüs.
Le nom arabe de l’endroit est Sheikh Ubeid, qui selon la tradition arabe était le commandant principal de l’armée musulmane. Il est mort au 7e siècle du fait de l’épidémie de peste à Emmaüs.
Les principales sections de l’établissement de bains, qui comptait quatre parties, sont restées intactes.
Un conduit conduisait l’eau de source aux bains, et il semble que ce soit le bain chaud d’Emmaüs décrit dans les textes juifs.
À un kilomètre et demi au nord de Shaar Hagai, une route marquée en rouge, bifurque. Elle va vers l’est jusqu’au site de la borne.
Cela vaut la peine de garer votre voiture à côté de la station de la société israélienne d’électricité, car à partir d’ici, la route est praticable uniquement pour les 4x4.
Après quelques minutes de marche, vous arriverez aux bornes qui marquent l’ancienne route qui allait d’Emmaüs, dans la vallée d’Ayalon, à Jérusalem.
Une inscription trouvée sur l’une des pierres mentionne l’empereur Maximinus, qui a régné de 235 à 238 de l’ère courante.
Plus loin, à environ 1,5 km, se trouve la ruine de Matzad, d’où l’on a une vue panoramique sur la vallée d’Ayalon et la montée de Shaar Hagai.
Après avoir regagné votre voiture, vous pourrez vous rendre dans les aires de repos de Bir Ayub et Einot Ayalon.